Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ce fut pour moi l’occasion de faire le bilan d’une quarantaine d’années d’enseignement et de constater que mon expérience pédagogique m’avait amené à partager la plupart des convictions de Célestin Freinet.
En savoir plusQuels liens se tissent entre les êtres, par-delà leur histoire, leurs angoisses, leurs fêlures ?
En savoir plusAu cours de sa longue vie (1854-1943), La Fontaine n’a pour ainsi dire jamais pris de repos, n’a jamais cessé d’écrire. Il laisse une correspondance et des archives d’une richesse inouïe. Grâce à leur consultation (au sein du Mundaneum, reconstitué depuis 1998 en centre d’archives situé à Mons (Hainaut)), l’auteur de ce livre a pu dénouer le fil, presque au jour le jour, d’une existence passionnante, toujours au cœur des événements politiques, scientifiques et culturels les plus importants de son époque.
En savoir plusGrâce au travail créateur de Benoît-Jeannin, nous sentons combien profonde est la communion d’un artiste envers son aîné, cette communion qui lui permet de joindre sa voix à la sienne pour continuer à parler de la vie et de la condition humaine…
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ce roman retrace l’histoire d’un trésor.
En 481, le roi franc Childéric, père de Clovis, meurt à Tournai, en Belgique actuelle. Sa tombe, découverte par hasard au XVIIe siècle, livre des armes, des bijoux et trois cents abeilles d’or et de grenat. Le roman est construit sous forme de nouvelles qui entraînent le lecteur sur la trace des abeilles.
Pasteur : Quand j’ai voulu créer l’Institut Pasteur, dont le but était de sauver l’humanité de toutes les contagions, les politiques ne se sont pas montrés très généreux. J’ai dû avoir recours à une souscription auprès du grand public, sollicitée dans le monde entier, par voie de presse. Les peuples se sont montrés plus sages que les maîtres qu’ils s’étaient donnés. La levée de fonds a été phénoménale. Je ne l’ai jamais oublié. Je suis, en fait, plus anarchiste que vous ne le fûtes. Il faut se méfier des « à-peu-près » et des jugements a priori, monsieur Hugo. Vos listes de « Choses vues » ne valent pas mes statistiques.