Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
À travers cette véritable promenade littéraire étonnante, par les lieux pittoresques de Bruxelles, on découvre une ville encore « campagnarde » et « provinciale. »
En savoir plusLecomte dans la presse et en revues, chroniques, critiques et écrits politiques, ainsi que la correspondance. Du coup, le peu se fait nombre, et c’est toute une vie consacrée à l’écriture qui se dévoile.
En savoir plusVoici un livre inédit du grand spécialiste des doctrines et la sociologie politiques Marcel Liebman.
En savoir plusRéjouissons-nous donc de la réédition de ce conte de la maturité, délectons-nous de son écriture aussi truffée de ludiques détournements que la « dinde familiale farcie de bonnes intentions »
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ce roman retrace l’histoire d’un trésor.
En 481, le roi franc Childéric, père de Clovis, meurt à Tournai, en Belgique actuelle. Sa tombe, découverte par hasard au XVIIe siècle, livre des armes, des bijoux et trois cents abeilles d’or et de grenat. Le roman est construit sous forme de nouvelles qui entraînent le lecteur sur la trace des abeilles.
Le texte que vous allez lire s’adresse non seulement à tous les acteurs politiques, culturels, sociaux mais aussi à tous les ennemis de la bêtise. Lorsque l’état se met à conclure des pactes, surtout d’excellence, on confine au paroxysme de la régression. Déjà que le mot pacte évoque le diable, deux parties qui pourraient ne pas être d’accord (et qui semblent ne pas l’être dans les faits), et puis d’« excellence », sorte de prétention qui pourrait laisser entendre qu’il existe, quelque part, une médiocrité à combattre, voire une bêtise à relever (lire à ce propos L’homme est bête et l’a toujours été, de Roger Avermaete), ce qui pointe vers une prise de conscience d’une déréliction lente – qui ne date pas d’hier.