Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Le camarade Mao m’a enfermée ici, depuis 6 ans, dans la prison de Shanghai, parce que j’ai écrit des articles dans les journaux pour dire la vérité au peuple, parce que je veux penser librement, dans un pays libre. »
En savoir plusSi Denuit est l’un de nos poètes les plus importants, c’est que, dans un genre où le flou artistique encombre tout, il considère la poésie comme une mécanique verbale de haute précision. Tout en sachant mieux que personne que l’on a beau baliser son parcours de savoir et de maîtrise, le vertige attend au bout du chemin.
En savoir plusL’auteur a sillonné la Birmanie pendant deux ans. En quatorze chapitres-tableaux croisant récit de voyage, enquête historique et analyse géopolitique, il propose un décryptage de l’intérieur de ce « pays ermite ».
En savoir plus« Un livre incontournable pour comprendre et vivre la réalité géographique, historique et humaine de cet exploit hors du commun. »
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où « on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l’État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l’avenir ». Ambroise développe alors une terrible « chirurgie de l’âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?
Onze Bruxelles. Notre Brussel. Son objectif. Sa mission et autre chose. Beaucoup d’autres choses.
Valentin Dullac fonce. Chevauchant sa mobylette. A travers les champs et les vallons du Pajottenland. S’arrête parfois pour jeter un œil à sa carte. Pas le temps de chercher les toits de paille qui ont donné leur nom à la région ou un estaminet où savourer une gueuze. Si le divin breuvage a survécu aux années d’occupation, aux disettes, aux réquisitions…