Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Hasards objectifs, « coïncidences pétrifiantes », rencontres improbables, signaux qui vous laissent éperdus comme au bord d’un abîme, trament ce roman de fils serrés qui finissent par former une tapisserie fantastique au dessin inoubliable.
En savoir plusGrâce à ce petit livre, non seulement vous comprendrez qu’on vient de vous traiter de « hareng saur léché » ou de « gros sac à panade », mais vous apprendrez à retourner l’engueulade contre votre interlocuteur. Bientôt, vous n’hésiterez plus à le traiter d’« à moitié cuit » (half gebakke) et, s’il a l’œil globuleux, à lui reprocher ses yeux en forme de grosses billes (kartachuuge).
En savoir plusMusicien talentueux, compositeur audacieux, dramaturge, critique d’art, éditeur, mécène, homme d’affaires, homme de théâtre, poète, polémiste, Herwarth Walden fut tout cela à la fois, et aussi, l’un des plus grands galeristes de la première moitié du xxe siècle.
En savoir plusCette souveraineté au fondement de la philosophie occidentale, la fin héroïque de Socrate devait contribuer à la sacraliser. La figure de Socrate s’est parée d’une sorte de sainteté laïque. On a fait de Xanthippe une mégère et de Criton, un benêt. La pièce leur rend la parole.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Essayons de retrouver ces richesses perdues devant quelques œuvres qui auront, l’une après l’autre, hanté les coulisses du travail de l’auteur. Il les présente, dans leur diversité, selon l’ordre où il les a écrites. « Écrites », puisqu’il échoit à l’esthéticien de dire pour autrui ce qu’il a vu et ressenti, à sa propre échelle. C’est un réel bonheur que de s’arrêter avec Pierre Somville sur ces images…
Nous sommes le 18 juin 2011, la musique qui monte au cœur de Belgrade est celle du malheur et de la déchéance. Il est 21h55, et c'est l'heure H, de mon histoire.