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Samsa Editions

Lettre à mon frère Naïm
  16.00 €

Lettre à mon frère Naïm

Bichara Khader
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Bichara Khader adresse aujourd’hui cette longue lettre à son frère Naïm (premier représentant de l’OLP, assassiné à Bruxelles), au cours de laquelle il lui relate les événements survenus, depuis sa disparition, le chemin parcourus, les espoirs et les déceptions, les combats menés.

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L’Homme est bête
  18.00 €

L’Homme est bête

Roger Avermaete
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Pascal a écrit: «L’homme, imbécile ver de terre, mais c’est préjuger de ce lombric dont nous ne savons à peu près rien!» Il a raison, et bien au-delà du lombric…

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Verhaeren et son temps
  20.00 €

Verhaeren et son temps

Paul Aron, Jean-Pierre Bertrand
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Les différentes approches réunies dans ce dossier complémentaire – études des échanges épistolaires, des rapports entre les arts, des transferts culturels – apportent des éclairages précieux sur l’époque de Verhaeren…

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Réécritures
  15.00 €

Réécritures

Catherine Bouko, Karel Vanhaesebrouck
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Ce volume de la revue Textyles entend explorer les pratiques de réécriture et stimuler la réflexion autour du statut du « répertoire » théâtral, en Belgique francophone en particulier.

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SAMSA Editions

Samsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.

Ripple-Marks
La femme de Saint Augustin

La femme de Saint Augustin - théâtre / MET

« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !”  »

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La vie et la mort selon Bruegel

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