Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Dans une autre lettre adressée à Engels le 19 décembre 1860, Marx écrit : « Voilà le livre qui contient la base, en histoire naturelle, pour nos idées. »
En savoir plusLes éditions Samsa publient aujourd’hui ce texte inédit en Français, essentiel pour comprendre les rouages et conséquences d’une dérive idéologique.
En savoir plus« Quelle bonne surprise ! Si je m’attendais à vous rencontrer ici ! » et elle feignit le contentement et je feignis la surprise et, quitte à m’imposer un peu plus (mais les femmes âgées ont cette supériorité sur nous, elles ont le temps, elles ont tout leur temps), je lui demandai à nouveau de me parler de « là-bas »…
En savoir plusNé en Toscane, descendant direct du frère de Michel-Ange, Filippo ou Philippe Buonarroti (1761-1837), épris de liberté et d’égalité, s’enthousiasme pour la Révolution française. Après la chute de Robespierre, il est emprisonné et rencontre Gracchus Babeuf, le premier socialiste révolutionnaire. Libérés en 1795, tous deux organisent la Conjuration des Égaux visant à renverser le gouvernement corrompu du Directoire dans un contexte d’exaspération sociale due à la vie chère. Après l’échec de cette tentative, Babeuf est guillotiné et Buonarroti est emprisonné pendant six ans avant d’être banni.
Il vit dès lors dans une grande pauvreté, travaillant comme professeur de musique. Mais il continue à faire de l’agitation révolutionnaire, parfois au sein de la Charbonnerie, une Franc-maçonnerie politique organisée comme un réseau de résistance.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Homme d’argent et de pouvoir,
David fut de toutes les révolutions,
même les plus radicales !
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.