Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.

Les deux récits (celui du Vieil homme et la mère et celui de Boschwitz, Le Voyageur), se répondent dans l’urgence imposée par les faits. À 80 ans d’intervalle entre la traque nazie et l’euthanasie de Séléné. Face à ces deux « urgences », subsistent les questions existentielles : l’écrit, le livre, la création ; ces derniers restent seuls à offrir une catharsis vitale : la valeur de l’amitié, la faiblesse des riches, la pertinence ou non de l’Histoire et de l’Ego, le rôle existentiel des livres, de l’animal, de l’absurde, de son acceptation, le triomphe de la bêtise, et un récit de l’ultime création à quatre mains ! Que faire ?
Aristophane a accepté d’en écrire la préface.
Lisez Le vieil homme et la mère !
En savoir plus
Nuit de guerre au Louvre. Simon, qui entre le premier, et donc à reculons, porte un manteau et une grosse écharpe autour du cou. Il tient sa serviette, peu épaisse, genre cartable, de l’autre main. Rupert, manteau SS par-dessus l’uniforme.
En savoir plus
« Un livre incontournable pour comprendre et vivre la réalité géographique, historique et humaine de cet exploit hors du commun. »
En savoir plus
La Fin des bourgeois met en scène une famille, les Rassenfosse, qui, bien que de très basse extraction à l’origine, est parvenue à se hisser au sommet de la fortune, à force de travail et de sacrifices investis dans la gestion d’un charbonnage…
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Repenser l’Europe comme un réseau de villes et de régions métropolitaines permet d’approfondir l’idée d’« européanité » comme mode de vie respectueux des différences et de la diversité…
C’est avec une sensibilité sans cesse en mouvement que Edwin Zaccai partage ici des expériences de jeunesse transposées en fables où l’imaginaire le dispute à la réalité.