Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Hasards objectifs, « coïncidences pétrifiantes », rencontres improbables, signaux qui vous laissent éperdus comme au bord d’un abîme, trament ce roman de fils serrés qui finissent par former une tapisserie fantastique au dessin inoubliable.
En savoir plusDayez s’intéresse, cette fois, à la justice pénale en tant que système. Façon de boucler la boucle en examinant les traits fondamentaux de tout l’édifice, ses lignes vectrices, et ce dans un double but : d’une part, montrer que, derrière leur apparente évidence, aucun des sacro-saints principes de droit ne va de soi et qu’ils comportent tous une face cachée préjudiciable aux personnes. D’autre part, esquisser ce qui pourrait leur représenter une véritable alternative.
En savoir plusNous sommes le 28 novembre 1994, le long des murs gris d'une prison résonnent les pas des gardiens qui accourent auprès du corps inerte de l'un des pires tueurs en série de l'histoire des USA. Il est 8h10 du matin, et c'est l'heure H de mon histoire.
En savoir plusAu cours de sa longue vie (1854-1943), La Fontaine n’a pour ainsi dire jamais pris de repos, n’a jamais cessé d’écrire. Il laisse une correspondance et des archives d’une richesse inouïe. Grâce à leur consultation (au sein du Mundaneum, reconstitué depuis 1998 en centre d’archives situé à Mons (Hainaut)), l’auteur de ce livre a pu dénouer le fil, presque au jour le jour, d’une existence passionnante, toujours au cœur des événements politiques, scientifiques et culturels les plus importants de son époque.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.
Grâce à son essai, aussi passionnant qu’édifiant, l’auteur met en lumière l’écart historique qui existe entre les attentes et les actes, où l’Union Européenne a échoué à faire la preuve de leadership et de détermination au Proche-Orient.
Cet essai se termine par une réflexion humaniste sur la nécessité pour les Israéliens et Palestiniens, enfermés aujourd’hui dans le cycle infernal de la violence, d’inventer un chemin émancipateur alternatif.