De ce journal au ton lyrique et volcanique, on découvre pour la première fois des extraits qui composent le roman Rose étrange au Mont des Arts, en alternance avec la fiction : l’autobiographie d’un végétal prénommé Rose-le-rosier-marin.
Cette étrange épopée participe à la joyeuse apocalypse de notre monde actuel.
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Une rose, une ratte, une grand-mère : voilà les trois héroïnes, farfelues et braves, de cette histoire, où l’on croise aussi un lierre, un acteur de cinéma, et beaucoup d’eau qui a justement noyé les archives de la vieille dame.
Cette dernière existe vraiment, c’est la romancière Marie-Thérèse Bodart (1909-1981), ancêtre de l’autrice. Elle a tenu un journal intime (inédit) à partir de ses seize ans et durant presque cinquante années, évoquant ainsi une bonne part du xxe siècle.
De ce journal au ton lyrique et volcanique, on découvre pour la première fois des extraits qui composent le roman Rose étrange au Mont des Arts, en alternance avec la fiction : l’autobiographie d’un végétal prénommé Rose-le-rosier-marin.
Cette étrange épopée participe à la joyeuse apocalypse de notre monde actuel.
Florence Richter est criminologue. Elle a été analyste criminelle au commissariat de police de Molenbeek (Bruxelles), éditrice, journaliste, chercheuse universitaire, elle travaille aujourd’hui au ministère de la Culture. Elle a publié un essai Ces fabuleux voyous?: crimes et procès de Villon, Sade, Verlaine, Genet (2010), et deux fictions (La déesse et le pingouin, 2014?; Qui est Georgette??, 2019) où l’on rencontre déjà le personnage de Rose.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Il y a une sorte d’inconscient collectif dans notre façon de rendre la justice en nous abusant sur ce que nous faisons réellement. À preuve, sauf à céder à la naïveté, tous ceux qui contribuent à ce qu’on nomme l’œuvre de justice sont en vérité parfaitement interchangeables.