Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Une biographie essentielle à la compréhension du Congo, elle se lit comme un roman.
(ICONOGRAPHIE)
En savoir plusCe fut pour moi l’occasion de faire le bilan d’une quarantaine d’années d’enseignement et de constater que mon expérience pédagogique m’avait amené à partager la plupart des convictions de Célestin Freinet.
En savoir plusClaude Haumont a été prolifique, il laisse des centaines d’inédits conservés aux Archives et Musée de la Littérature (AML). Les Cent poèmes d’amour que les éditions Samsa publient ici sont extraits de ces inédits merveilleux.
En savoir plusJe me suis immergé dans la fresque complète. Sa richesse et sa capacité à se renouveler m’ont sidéré, elles appelaient un traitement original et approfondi, j’ai sollicité l’intervention de Jean-Pierre Legrand, mon complice de maints dossiers dialogiques (Véronique Bergen, Luc Dellisse, Maxime Benoît-Jeannin, Camille Lemonnier, Charles De Coster, etc.), dans la revue Que faire ? ou sur sur la plateforme Les belles phrases… (Philippe Remy-Wilkin)
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.