Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Cet essai prend le pari de la révolution urbaine pour repenser la société post-nationale. Il propose un changement radical de gouvernance à partir de l’écosystème métropolitain, dans une Europe des villes en un monde cosmopolite.
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Au Louvre, le 20 juillet 1859, il y fait très chaud. Quelques visiteurs, des pioupious rentrés d’Italie, des dames en crinoline, allant deux par deux, regardent les tableaux et s’amusent discrètement des jeunes peintres, si appliqués, venus travailler dans le sanctuaire de l’art.
En savoir plusOutre son activité de dessinateur d’actualité, il réalise régulièrement pour La Libre Belgique des bandes dessinées humoristiques, en particulier le strip quotidien Le Quatrième Pouvoir…
En savoir plusNous sommes pendant les années Covid. L’auteur de ce livre est un jeune activiste de gauche, il n’a pas connu la chute du mur de Berlin, mais réalise aujourd’hui que les nazis n’ont jamais disparu de l’histoire, ils sont parmi nous, nous sommes parmi eux. Jakob Springfeld refuse le règne de la violence qui semble à nouveau poindre dans cet Occident qui, pourtant, semblait rêver de liberté et de démocratie, n’était-ce que des mirages dissimulant un monde de croissance et de pouvoir d’achat ? Ses parents semblent même nourrir, aujourd’hui, une sorte de nostalgie de l’Allemagne de l’Est, d’avant la chute du mur, lorsqu’elle était communiste. N’étions nous pas plus heureux, malgré un quotidien plus rude ?
Préface de Jacques Steiwer
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Homme d’argent et de pouvoir,
David fut de toutes les révolutions,
même les plus radicales !
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.