Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Exploration captivante des relations familiales, des secrets enfouis et des réalités changeantes, cette pièce invite le spectateur à plonger dans un univers de mystère et d’intrigue…
À l’image des comédies douces-amères à l’italienne, Porca Strada ! est un voyage à la fois initiatique et affectif, identitaire et citoyen, composé d’allers-retours permanents entre une culture et l’autre, entre un présent fait d’engagements et un passé teinté de poésie. Un voyage universel, et donc humain.
En savoir plusPasteur : Quand j’ai voulu créer l’Institut Pasteur, dont le but était de sauver l’humanité de toutes les contagions, les politiques ne se sont pas montrés très généreux. J’ai dû avoir recours à une souscription auprès du grand public, sollicitée dans le monde entier, par voie de presse. Les peuples se sont montrés plus sages que les maîtres qu’ils s’étaient donnés. La levée de fonds a été phénoménale. Je ne l’ai jamais oublié. Je suis, en fait, plus anarchiste que vous ne le fûtes. Il faut se méfier des « à-peu-près » et des jugements a priori, monsieur Hugo. Vos listes de « Choses vues » ne valent pas mes statistiques.
En savoir plusCe livre raconte cette fabuleuse aventure, il traite naturellement de la relation de l’arbre avec l’agriculture, à travers l’expérience du quotidien au domaine de l’Apocalypse. Il pose un regard sur les générations présentes et passées, dans l’espoir d’encourager chacun à renouer avec leur passé agricole.
En savoir plusJules Destrée est incontestablement l'une des figures de proue du Mouvement wallon.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Homme d’argent et de pouvoir,
David fut de toutes les révolutions,
même les plus radicales !
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.