Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Il s'agit d'éclairer la diversité qui caractérise l'anticipation belge, mais aussi de mettre en évidence les raisons de sa faible reconnaissance esthétique et de poser les jalons d'une histoire littéraire capable de saisir des dynamiques multiples de légitimation.
En savoir plusÀ ce jour, le genre humain n’a pas trouvé une manière de vivre ensemble qui permettrait à tous – égalitairement – de se nourrir et de mener une vie modestement heureuse et exempte des soucis existentiels les plus élémentaires. La rapine de quelques-uns a servi de prétexte à une interprétation faussement darwiniste « de l’émergence des meilleurs, de la victoire des élites », alors que le vrai darwinisme vise simplement une survivance des plus adaptés. Or, avec le brigandage actuel de ses ressources naturelles, l’espèce humaine risque, à plus ou moins courte échéance, d’arriver à une inadaptation totale, d’autant plus qu’elle se menace elle-même de stocks nucléaires incontrôlables et fatidiques…
En savoir plusCette souveraineté au fondement de la philosophie occidentale, la fin héroïque de Socrate devait contribuer à la sacraliser. La figure de Socrate s’est parée d’une sorte de sainteté laïque. On a fait de Xanthippe une mégère et de Criton, un benêt. La pièce leur rend la parole.
En savoir plusL’histoire de Paul Marie Bolo (1876-1918) dit Bolo Pacha a défrayé la chronique en son temps. Les journaux étalèrent sa forfaiture, ses escroqueries, ses manipulations sur des pages et des pages tout au long de son procès.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.