Dans une langue riche et haute en couleur, voici des « chroniques » originales autour du fleuve Congo. Un séjour en Afrique centrale qu’on savoure sans modération.
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Dans une langue riche et haute en couleurs, voici des « chroniques » originales autour du fleuve Congo. Un séjour en Afrique centrale qu’on savoure sans modération.
L’auteur, passionné du fleuve Congo (et de navigation en général), a construit un bateau en bois de vingt-deux mètres à Kinshasa. C’est avec des chercheurs de l’université de Liège qu’il a effectué trois voyages scientifiques.
Grâce à ce regard particulier de Congolais ayant grandi en Belgique, l’auteur nous offre le récit de ses voyages sur le fleuve. Un double regard de Kinois-Bruxellois qui imprime un caractère si personnel à son récit. Plusieurs cultures se mélangent pour décrire la beauté d’un des plus grands fleuves au monde, ses peuples riverains, ses paysages, ses contes et légendes… Au cours de ce périple, les dieux du fleuve et de la finance internationale s’affrontent dans un combat sans merci, car les richesses côtoient une extrême pauvreté. On assiste par ailleurs à l’histoire d’amour entre un Ulysse congolais et sa Pénélope kinoise.
Entre deux voyages sur le fleuve, le narrateur évoque sa vie à Bruxelles, se souvient de son enfance à Comines, ses humanités à Namur, son premier poste dans une banque à New York. Nous découvrons sa passion pour la musique, l’Histoire européenne et africaine.
Voici donc un livre métissé où à la fois les Belges et les Congolais se retrouvent, où le lecteur reconnaîtra cette part universelle de la culture qui traverse l’espace et le temps. La puissance d’un grand fleuve a généré ce texte subtil, fluide et amusant.
Alain Bomboko est né à Kinshasa en 1964. Il est ingénieur Commercial de l’École de commerce Solvay (Université Libre de Bruxelles). De nationalité congolaise, il partage son temps entre le Congo et la Belgique où il s’occupe de projets de développement.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…