Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
C’est à l’univers des continuateurs, des relecteurs et des transmetteurs du grand texte de De Coster que la revue Textyles consacre le numéro qu’elle publie à l’occasion du cent-cinquantième anniversaire de la publication de l’Ulenspiegel.
En savoir plusDANS CE VOLUME : les annexes (sources, bibliographie, notes) relatives à la biographie consacrée à Henri La Fontaine par Pierre Van den Dungen aux éditions Samsa (ISBN 978-2-87593-402-4), Bruxelles, 478 pages, nov. 2022.
En savoir plusCes chroniques parisiennes rehaussées d’impertinence et d’irrévérence permettent de découvrir un Rodenbach passionné de modernité, toujours à l’affût des remous de la vie parisienne jusque dans ses manifestations les plus nobles et ses travers les plus sordides.
En savoir plusLa Diagonale de Nakis invite le lecteur à partager la fascination de l’auteur pour le passé fabuleux de la Grèce, il l’entraîne de manière insidieuse dans le labyrinthe d’un thriller où le suspense s’amplifie au rythme des découvertes que réalise sur le terrain son héros, Antoine, un jeune chercheur liégeois passionné par le déchiffrement des anciennes écritures.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.