Grâce à son essai, aussi passionnant qu’édifiant, l’auteur met en lumière l’écart historique qui existe entre les attentes et les actes, où l’Union Européenne a échoué à faire la preuve de leadership et de détermination au Proche-Orient.
Cet essai se termine par une réflexion humaniste sur la nécessité pour les Israéliens et Palestiniens, enfermés aujourd’hui dans le cycle infernal de la violence, d’inventer un chemin émancipateur alternatif.
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Grâce à son essai, Bichara Khader nous montre pourquoi le 7 octobre 2023 (qui a causé de nombreuses victimes israéliennes) n’est pas le « début » de l’histoire palestinienne (comme les responsables israéliens tentent de nous le faire croire), mais bien l’aboutissement d’une « longue histoire », qui s’inscrit dans un chapelet de dénis avérés, de la dépossession et de l’humiliation du peuple palestinien.
Ce livre analyse la responsabilité historique de l’Europe (de 1897 à 1967) et de sa diplomatie rhétorique (depuis 1967), jusqu’à nos jours. Il ne s’agit toutefois pas ici d’une énième histoire de la Palestine, mais bien d’une analyse pertinente des faits.
Grâce à son essai, aussi passionnant qu’édifiant, l’auteur met en lumière l’écart historique qui existe entre les attentes et les actes, où l’Union Européenne a échoué à faire la preuve de leadership et de détermination au Proche-Orient.
Cet essai se termine par une réflexion humaniste sur la nécessité pour les Israéliens et Palestiniens, enfermés aujourd’hui dans le cycle infernal de la violence, d’inventer un chemin émancipateur alternatif.
Bichara Khader est professeur émérite à l’Université Catholique de Louvain et fondateur du Centre d’Études et de Recherches sur le Monde Arabe Contemporain. Il est actuellement professeur invité dans diverses universités arabes et européennes. Il a publié et dirigé une trentaine d’ouvrages sur le monde arabe, sur les relations euro-arabes, euro-méditerranéennes et euro-palestiniennes.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Maxime Serebrakian, d’origine arménienne, suivra ce drame de loin. Mis au piano dès qu’il put monter sur un tabouret, il accompagna sa mère à Odessa (où il fit ses études) au lendemain du divorce de ses parents. Une quinzaine d’années plus tard, sa virtuosité lui vaudra de connaître les plus grandes scènes européennes, et bientôt celles des Etats-Unis : il y partit en tournée en compagnie d’une soprano de grand talent, à la veille de la Première Guerre mondiale.