Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Grâce au travail créateur de Benoît-Jeannin, nous sentons combien profonde est la communion d’un artiste envers son aîné, cette communion qui lui permet de joindre sa voix à la sienne pour continuer à parler de la vie et de la condition humaine…
En savoir plusJ’aimais l’idée qu’après ma mort, il parlerait de moi avec tendresse, encore longtemps. J’ai donc pris rendez-vous chez mon notaire et j’ai donné ma fortune à l’École Moderne…
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Réjouissons-nous donc de la réédition de ce conte de la maturité, délectons-nous de son écriture aussi truffée de ludiques détournements que la « dinde familiale farcie de bonnes intentions »
En savoir plusCette lettre à un ami américain met en lumière le lynchage médiatique dont fut victime, en l’an 2000, l’écrivain Renaud Camus.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où « on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l’État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l’avenir ». Ambroise développe alors une terrible « chirurgie de l’âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?
Onze Bruxelles. Notre Brussel. Son objectif. Sa mission et autre chose. Beaucoup d’autres choses.
Valentin Dullac fonce. Chevauchant sa mobylette. A travers les champs et les vallons du Pajottenland. S’arrête parfois pour jeter un œil à sa carte. Pas le temps de chercher les toits de paille qui ont donné leur nom à la région ou un estaminet où savourer une gueuze. Si le divin breuvage a survécu aux années d’occupation, aux disettes, aux réquisitions…