Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Un des écrivains les plus remarquable de la littérature belge d'expression française nous offre, par ce document étonnant, un périple à travers Bruxelles et ses statues.
En savoir plusÀ travers cette enquête historique sourcée, parfois digne d’un thriller, l’auteur insiste sur l’importance de l’obélisque, refusé par l’empereur. Cet élément architectural majeur devait être « la dernière pierre de tout l’édifice ». Il détaille ensuite la symbolique du fronton du Palais de la Nation et par-dessus tout celle de l’église du Coudenberg qui aurait eu pour objectif de transformer Bruxelles en Jérusalem céleste. Enfin, il montre en quoi la Quête de la Toison d’Or pourrait constituer un des fils rouges du Quartier Royal…
En savoir plusDans cet essai, l’autrice prend pour point de départ le constat de la disqualification et du rejet, voire de la haine des juges, du Droit et des droits de l’homme qui s’observe, depuis quelques années dans le débat public, partout en Occident, au prétexte de lutter contre le fameux « gouvernement des juges », non élus.
En savoir plusGrâce au travail créateur de Benoît-Jeannin, nous sentons combien profonde est la communion d’un artiste envers son aîné, cette communion qui lui permet de joindre sa voix à la sienne pour continuer à parler de la vie et de la condition humaine…
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ce livre retrace la vie de peintresses méconnues qui ont accompagné le mouvement artistique du Blaue Reiter, chacune avec leur personnalité et leur talent. Souvent restées dans l’ombre aujourd’hui plusieurs expositions leur rendent hommage et éclairent d’un jour nouveau l’histoire de la peinture.
Des mots à maux dépouillés de leur costume de notes, de mélodies et d’harmonies. Dépouillés de la haute couture des amis, des amies musiciens-musiciennes dont, à chaque fois, les trouvailles m’ont ébloui. Mes bafouilles montrées pour ce qu’elles sont. Qu’elles sont... long, aussi. Car mes parures littéraires aiment « le jeu de mot laid » façon Bobby toujours en pointe...
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