Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Au cœur de l’enquête se trouve un phénomène qui avait depuis longtemps retenu l’attention de la critique mais qui n’avait jamais été examiné à la loupe : le style archaïsant de Charles De Coster.
En savoir plusIMPORTANTE ICONOGRAPHIE EN COULEUR !
Une première partie remet en contexte les principaux monuments qu’il se prépare à voir, et rappelle brièvement les chefs-d’œuvres qui leur sont contemporains dans le domaine des arts dits mineurs (Art du laiton, orfèvrerie, travail de l’ivoire, miniature). Une deuxième partie regroupe toute une série d’informations pratiques concernant essentiellement l’accès aux églises évoquées ou non dans le texte (sites web, personnes de contact avec n° de téléphone et mail…), et les musées.
En savoir plusRéveil à Shanghai porte un regard sans fard sur la Chine contemporaine, où le dynamisme des mégalopoles côtoie une culture plurimillénaire. Où inégalités sociales, corruption et propagande sont le lot quotidien des habitants.
En savoir plusC’est un regard drolatique, dramatique, absurde, épique et ethnologique, mais certainement pas académique, que je jette sur la femme, thème central de mon recueil.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
À travers l’art et l’histoire, La vie et la mort selon Bruegel interroge également notre conception contemporaine de l’existence.