Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Cet essai est né d’un coup de cœur de l'auteure à la suite de la découverte du spectacle Kontakthof de Pina Bausch
En savoir plusLa question de la responsabilité de Pie XII et du Vatican de ne pas avoir parlé de manière décisive face à la Solution finale de Hitler reste aujourd'hui un débat encore brûlant.
En savoir plusStorm a pratiqué ici un étonnant changement des perspectives qui lui a permis, d’une part, de démasquer l’hypocrisie de la société du beau monde, et d’autre part d’éviter de tomber dans le piège du sentimentalisme.
En savoir plusUn romancier poète, confiné dans un appartement de la côte en compagnie d’une femme aimée, se souvient d’avoir rencontré tout au long de sa vie des personnalités aussi diverses que Michel de Ghelderode, Montserrat Caballé ou René Magritte.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Le texte que vous allez lire s’adresse non seulement à tous les acteurs politiques, culturels, sociaux mais aussi à tous les ennemis de la bêtise. Lorsque l’état se met à conclure des pactes, surtout d’excellence, on confine au paroxysme de la régression. Déjà que le mot pacte évoque le diable, deux parties qui pourraient ne pas être d’accord (et qui semblent ne pas l’être dans les faits), et puis d’« excellence », sorte de prétention qui pourrait laisser entendre qu’il existe, quelque part, une médiocrité à combattre, voire une bêtise à relever (lire à ce propos L’homme est bête et l’a toujours été, de Roger Avermaete), ce qui pointe vers une prise de conscience d’une déréliction lente – qui ne date pas d’hier.
Dans cet essai, l’autrice prend pour point de départ le constat de la disqualification et du rejet, voire de la haine des juges, du Droit et des droits de l’homme qui s’observe, depuis quelques années dans le débat public, partout en Occident, au prétexte de lutter contre le fameux « gouvernement des juges », non élus.