Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Grâce au travail créateur de Benoît-Jeannin, nous sentons combien profonde est la communion d’un artiste envers son aîné, cette communion qui lui permet de joindre sa voix à la sienne pour continuer à parler de la vie et de la condition humaine…
En savoir plusVoici un livre inédit du grand spécialiste des doctrines et la sociologie politiques Marcel Liebman.
En savoir plusVoici des « mœurs bruxelloises » mises en scène au travers des rapports entre les familles Kaekebroeck, Mosselman, Rampelbergh, Posenaer et autres habitants du « bas de la ville », héros pittoresques, croqués avec une grande dextérité.
En savoir plusDans la salle il faisait chaud. Trois radiateurs étaient tournés du côté de la jeune femme nue, impassible…
Στην αίθουσα είχε ζέστη. Τρεις σόμπες κοιτούσαν προς την πλευρά της γυμνής, ασάλευτης, κοπέλας.
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Samsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…