Ripple-Marks - roman
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Un tableau de la colonisation et de ses obsessions. Et il n'est pas insignifiant que le roman nous entraîne jusqu'à Saint-Domingue où le fils du héros reste en quelque sorte « aux portes de l'Histoire », au moment même où le dernier pan du grand empire colonial espagnol s'effondre à Cuba.
En savoir plusC’est l’un des mérites de ce récit, au-delà de ses qualités d’écriture, de narration, d’émotion : nous faire vivre ces questions (philosophiques) de plain-pied.
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Ces cahiers, dans l'esprit du répertoire de Théâtre Populaire de Jean Vilar, proposeront des textes philosophiques et de théâtre que nous représenterons.
En savoir plusL’œuvre de Pieter Bruegel l’Ancien s’inscrit dans son époque, la Renaissance, le « Rinascimento », imaginé dès 1568 par l’italien Giogrio Vasari, on redécouvre à travers toute l’Europe occidentale, les arts, les sciences et, surtout, la littérature. 90 pp iconographie quadri. IMPORTANTE ICONOGRAPHIE EN COULEURS.
En savoir plusSamsa sprl est une maison d’édition bruxelloise à caractère littéraire, elle publie essentiellement de l’Histoire et de la Littérature, qu'il s'agisse de rééditions patrimoniales, d'ouvrages poétiques ou de romans contemporains… Elle est active depuis août 1999.
Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ce roman retrace l’histoire d’un trésor.
En 481, le roi franc Childéric, père de Clovis, meurt à Tournai, en Belgique actuelle. Sa tombe, découverte par hasard au XVIIe siècle, livre des armes, des bijoux et trois cents abeilles d’or et de grenat. Le roman est construit sous forme de nouvelles qui entraînent le lecteur sur la trace des abeilles.
Le texte que vous allez lire s’adresse non seulement à tous les acteurs politiques, culturels, sociaux mais aussi à tous les ennemis de la bêtise. Lorsque l’état se met à conclure des pactes, surtout d’excellence, on confine au paroxysme de la régression. Déjà que le mot pacte évoque le diable, deux parties qui pourraient ne pas être d’accord (et qui semblent ne pas l’être dans les faits), et puis d’« excellence », sorte de prétention qui pourrait laisser entendre qu’il existe, quelque part, une médiocrité à combattre, voire une bêtise à relever (lire à ce propos L’homme est bête et l’a toujours été, de Roger Avermaete), ce qui pointe vers une prise de conscience d’une déréliction lente – qui ne date pas d’hier.