Réveil à Shanghai porte un regard sans fard sur la Chine contemporaine, où le dynamisme des mégalopoles côtoie une culture plurimillénaire. Où inégalités sociales, corruption et propagande sont le lot quotidien des habitants.
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Une nuit de 31 décembre, Denise se réveille blessée et sidérée à Shanghai, dans un lieu qu’elle ne connaît pas.
« Que s’est-il passé ce soir-là ? » : cette question sans réponse devient une obsession. La jeune expatriée doit réapprendre à vivre avec le doute et le néant de sa mémoire pour tout repère. Le lecteur l’accompagne sur le difficile chemin de sa reconstruction.
Réveil à Shanghai porte un regard sans fard sur la Chine contemporaine, où le dynamisme des mégalopoles côtoie une culture plurimillénaire. Où inégalités sociales, corruption et propagande sont le lot quotidien des habitants.
Ce roman est inspiré de violences dont l’autrice a été victime.
Aurélie Croiziers de Lacvivier est amoureuse des gens et des mots, elle consacre sa vie à transmettre et à dépasser les frontières. Elle a voyagé puis vécu en Chine entre 2005 et 2012. Elle partage ses récits de vie sur le blog Curieuse Voyageuse et a plusieurs publications à son actif, dont un récit de voyage sur la Chine.
Après des années passionnantes comme salariée dans le domaine de la communication, elle se consacre aujourd’hui à l’écriture.
Elle nous offre avec Réveil à Shanghai un récit poignant.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !” »