Samsa Editions

Fiche détaillée

Réveil à Shanghai
par Aurélie Croiziers de Lacvivier

Réveil à Shanghai
Synopsis

Réveil à Shanghai porte un regard sans fard sur la Chine contemporaine, où le dynamisme des mégalopoles côtoie une culture plurimillénaire. Où inégalités sociales, corruption et propagande sont le lot quotidien des habitants.

Disponibilité: En stock

Quantité
  • 18.00

Une nuit de 31 décembre, Denise se réveille blessée et sidérée à Shanghai, dans un lieu qu’elle ne connaît pas.

« Que s’est-il passé ce soir-là ? » : cette question sans réponse devient une obsession. La jeune expatriée doit réapprendre à vivre avec le doute et le néant de sa mémoire pour tout repère. Le lecteur l’accompagne sur le difficile chemin de sa reconstruction.

Réveil à Shanghai porte un regard sans fard sur la Chine contemporaine, où le dynamisme des mégalopoles côtoie une culture plurimillénaire. Où inégalités sociales, corruption et propagande sont le lot quotidien des habitants.

Ce roman est inspiré de violences dont l’autrice a été victime.

Réveil à Shanghai

  • 212 pages
  • Dimensions : 140x205 mm mm
  • Type : livre
  • Couverture : softcover
  • Poids : 350
  • ISBN : 978-2-87593-404-8
  • Maison d'édition : SAMSA Editions
Extrait en PDF
  • Réveil à Shanghai
  • Réveil à Shanghai

Dernières parutions

Ripple-Marks - roman par Jean Muno
En résumé

Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.

En résumé

« Il n’a jamais eu l’esprit pratique, mon Augustin ! C’est un rêveur, toujours dans la lune, dans les nuages, à cogiter, à se triturer les méninges ! Aucun sens des réalités ! Sauf pour sa carrière, il faut le lui reconnaître. Là, il a su y faire. Quand on pense qu’elle a commencé ici, dans un bled comme Thagaste, sa ville natale, il y a seulement quatorze…, non, même pas, il y a treize ans. Frais émoulu professeur ès lettres. Qu’est-ce que j’étais fière de lui, moi sa petite femme, quand je le regardais partir le matin à son cours. Je me tenais sur le seuil de la maison, notre petit loustic dans les bras, et je lui disais : “Fais au revoir à papa !”  »