Panier

Samsa Editions

Fiche détaillée

1939 - Almanach d’une année noire
par Marc Lobet

1939 - Almanach d’une année noire
Synopsis

Du 1er janvier au 31 décembre, le présent almanach – mémoire de l’avenir ? – est à lire en continu, les dates formant les blocs de réalité d’un escalier à gravir marche après marche. Il n’y a pas ici de tromperies liées à la fiction laquelle reste dépassée par la réalité. Tout est réel ici. L’imaginaire peut attendre.

Il y sera fait moins de place aux faits et gestes politiques et militaires qu’aux nombreux témoignages d’écrivains, de peintres, de musiciens, de cinéastes, de poètes, de savants et  de philosophes tout au long de l’année. Cet almanach se lit comme un roman…

Disponibilité: En stock

Quantité
  • 24.00

Samedi 2 septembre 1939.  Les Parisiens quittent la ville. Ils empruntent les « trains d’éloignement », mis en service par la S.N.C.F.

    L’homme est le seul animal qui en fait souffrir d’autres sans autre but que celui-là, affirmait Schopenhauer en plein xixe siècle.

S. Zweig: C’est de nouveau la guerre, une guerre plus terrible et plus étendue que jamais guerre ne l’avait été sur la terre. Debout dans la chambre devenue tout à coup extraordinairement silencieuse, nous nous taisions et nous évitions de nous regarder. De l’extérieur nous parvenait le gazouillis insouciant des oiseaux qui, dans leurs libres jeux amoureux, se laissaient porter par le vent tiède, et les arbres se balançaient dans la lumière dorée comme si leurs feuilles aspiraient à se toucher tendrement, telles des lèvres. Une fois encore, elle ne savait rien, la vieille mère nature, des soucis de ses créatures.

1939 - Almanach d’une année noire

  • 360 pages
  • Dimensions : 140x205mm mm
  • Type : livre
  • Couverture : softcover
  • Poids : 350 gr
  • ISBN : 978-2-87593-448-2
  • Maison d'édition : SAMSA Editions
Extrait en PDF
  • 1939 - Almanach d’une année noire
  • 1939 - Almanach d’une année noire

Dernières parutions

Ripple-Marks - roman par Jean Muno
En résumé

Ripple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.

En résumé

Dayez s’intéresse, cette fois, à la justice pénale en tant que système. Façon de boucler la boucle en examinant les traits fondamentaux de tout l’édifice, ses lignes vectrices, et ce dans un double but : d’une part, montrer que, derrière leur apparente évidence, aucun des sacro-saints principes de droit ne va de soi et qu’ils comportent tous une face cachée préjudiciable aux personnes. D’autre part, esquisser ce qui pourrait leur représenter une véritable alternative.