Musicien talentueux, compositeur audacieux, dramaturge, critique d’art, éditeur, mécène, homme d’affaires, homme de théâtre, poète, polémiste, Herwarth Walden fut tout cela à la fois, et aussi, l’un des plus grands galeristes de la première moitié du xxe siècle.
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Musicien talentueux, compositeur audacieux, dramaturge, critique d’art, éditeur, mécène, homme d’affaires, homme de théâtre, poète, polémiste, Herwarth Walden fut tout cela à la fois, et aussi, l’un des plus grands galeristes de la première moitié du xxe siècle.
Organisateur d’évènements artistiques qui marquèrent son époque et s’inscrivent aujourd’hui dans l’histoire de l’art, la notoriété d’Herwarth Walden, de son vivant, dépasse largement les frontières de l’Allemagne. Walden le berlinois est la parfaite illustration d’une vision cosmopolite et internationale de l’art.
Rarement un homme n’a autant incarné les avant-gardes artistiques européennes de la première moitié du xxe siècle et imprimé sa marque à la culture allemande et européenne. Il a touché à toutes les disciplines artistiques car pour lui l’art est un et transversal. Dans sa revue Der Sturm, référence européenne incontournable de la modernité pendant plus de trente ans, tous les courants purent s’exprimer surtout les plus provocateurs…
Francisco Rubio, juriste, magistrat, consultant pour le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés, il a publié une dizaine d’ouvrages sur le droit international et la société civile. Depuis une dizaine d’années, il travaille sur les avant-gardes européennes du début du xxe siècle, principalement dans le domaine pictural. Il a notamment publié Pour l’amour de l’art – Münter-Kandinsky (1902-1917), Samsa, Bruxelles, 2021. Ce dernier retrace une relation amoureuse impossible entre deux grands peintres, relation qui se situe au cœur de l’art moderne.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Essayons de retrouver ces richesses perdues devant quelques œuvres qui auront, l’une après l’autre, hanté les coulisses du travail de l’auteur. Il les présente, dans leur diversité, selon l’ordre où il les a écrites. « Écrites », puisqu’il échoit à l’esthéticien de dire pour autrui ce qu’il a vu et ressenti, à sa propre échelle. C’est un réel bonheur que de s’arrêter avec Pierre Somville sur ces images…