J’aimais l’idée qu’après ma mort, il parlerait de moi avec tendresse, encore longtemps. J’ai donc pris rendez-vous chez mon notaire et j’ai donné ma fortune à l’École Moderne…
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« Il m’a dit qu’il ne fallait pas laisser cet argent à l’Etat, qu’il fallait qu’il serve à quelque chose, pour le progrès de l’humanité et le bien de mes semblables. Et j’ai trouvé qu’il avait raison. Alors il m’a parlé de son projet d’école pour les pauvres : « L’École Moderne ». Il m’a dit que si je voulais lui faire don de ma fortune pour ce projet, il parlerait toujours de moi comme d’une femme extraordinaire. Nous savions tous deux que j’étais malade du cœur et condamnée à court-terme.
J’aimais l’idée qu’après ma mort, il parlerait de moi avec tendresse, encore longtemps. J’ai donc pris rendez-vous chez mon notaire et j’ai donné ma fortune à l’École Moderne. »
Jean-Claude Idée est un homme de théâtre aux multiples facettes : enseignant, metteur en scène, metteur en ondes, auteur, adaptateur. En 1989, il fonde le Magasin d’Ecriture Théâtrale dont la mission est d’aider à l’émergence des littératures théâtrales contemporaines. En 2012, il crée les Universités Populaires du Théâtre dont l’ambition est de rendre la Raison populaire.
En savoir plusJean-Claude Idée est un homme de théâtre aux multiples facettes : enseignant, metteur en scène, metteur en ondes, auteur, adaptateur. En 1989, il fonde le Magasin d’Ecriture Théâtrale dont la mission est d’aider à l’émergence des littératures théâtrales contemporaines. En 2012, il crée les Universités Populaires du Théâtre dont l’ambition est de rendre la Raison populaire.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où « on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l’État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l’avenir ». Ambroise développe alors une terrible « chirurgie de l’âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?