La fuite d’Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l’espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l’amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l’Histoire et de l’Ego, de l’absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ?
Disponibilité: En stock
Otto Silbermann est un homme d’affaires en vue à Berlin, il est contraint de fuir la barbarie à la déclaration des Nuits de Cristal par les nazis en 1938. Il va tout perdre. En trois jours : sa femme, ses affaires, ses amis, sa fortune… Comme Stefan Zweig (qui fuira quelques années plus tôt en 1934), Silbermann n’entrevoit aucune issue en Europe. Que faire ?
Il décide de prendre des trains…
La fuite d’Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l’espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l’amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l’Histoire et de l’Ego, de l’absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ?
Depuis je prends des trains est librement inspiré, traduit et adapaté pour le théâtre du roman d’U. A. Boschwitz, The Man who took trains (Hamish Hamilton, 1939 ; en français Le Voyageur). Boschwitz rédige probablement son roman au Luxembourg et/ou à Bruxelles durant sa propre fuite face aux nazis.
Christian Lutz est né à Léopoldville (actuelle Kinshasa) de parents luxembourgeois. Il a bourlingué sur l’ensemble de la planète, est devenu éditeur dans la capitale de l’Europe, où il a fondé et dirigé les éditions Le Cri de 1981 à 2013. L’Histoire et la Littérature sont ses sujets de prédilection. Il a été administrateur de la Foire Internationale du Livre de Bruxelles (1984 à 1992), il a fondé les éditions Samsa en 1998. Il vit une partie de l’année sur l’île de St-Jean en Grèce, à Patmos.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La fuite d’Otto Silbermann révèle des questions existentielles, une catharsis à travers le temps et l’espace qui nous interpelle, il est question : de la valeur de l’amitié, de la faiblesse des riches, de la pertinence de l’Histoire et de l’Ego, de l’absurde, de son acceptation, du triomphe de la bêtise ?