Les auteurs ont su maintenir le suspense jusqu’à la dernière page, en transformant une bluette en une sorte de roman policier.
Les auteurs ont su maintenir le suspense jusqu’à la dernière page, en transformant une bluette en une sorte de roman policier.
Au Louvre, le 20 juillet 1859, il y fait très chaud. Quelques visiteurs, des pioupious rentrés d’Italie, des dames en crinoline, allant deux par deux, regardent les tableaux et s’amusent discrètement des jeunes peintres, si appliqués, venus travailler dans le sanctuaire de l’art.
L’auteur de cet essai tente de circonscrire l’aventure philosophique de la « quête de la vérité », en s’inspirant des recherches les plus récentes de l’épistémologie et de la logique, essayant de trouver dans la praxis des pierres d’achoppement pour un discours au moins tendanciellement vrai.
Que Faire ? ne cherche pas la littérature de circonstance. La littérature est toujours un engagement, une création. La lecture devient dès lors un acte de création en toute dialectique. C’est au sein de cette dernière, quelque part entre l’écrivain et le lecteur, que se produit l’étincelle.
DANS CE VOLUME : les annexes (sources, bibliographie, notes) relatives à la biographie consacrée à Henri La Fontaine par Pierre Van den Dungen aux éditions Samsa (ISBN 978-2-87593-402-4), Bruxelles, 478 pages, nov. 2022.
En quoi pourrait consister la réparation que les victimes sont en droit d’attendre ?
Ce roman retrace l’histoire d’un trésor.
En 481, le roi franc Childéric, père de Clovis, meurt à Tournai, en Belgique actuelle. Sa tombe, découverte par hasard au XVIIe siècle, livre des armes, des bijoux et trois cents abeilles d’or et de grenat. Le roman est construit sous forme de nouvelles qui entraînent le lecteur sur la trace des abeilles.
Pasteur : Quand j’ai voulu créer l’Institut Pasteur, dont le but était de sauver l’humanité de toutes les contagions, les politiques ne se sont pas montrés très généreux. J’ai dû avoir recours à une souscription auprès du grand public, sollicitée dans le monde entier, par voie de presse. Les peuples se sont montrés plus sages que les maîtres qu’ils s’étaient donnés. La levée de fonds a été phénoménale. Je ne l’ai jamais oublié. Je suis, en fait, plus anarchiste que vous ne le fûtes. Il faut se méfier des « à-peu-près » et des jugements a priori, monsieur Hugo. Vos listes de « Choses vues » ne valent pas mes statistiques.
Le texte que vous allez lire s’adresse non seulement à tous les acteurs politiques, culturels, sociaux mais aussi à tous les ennemis de la bêtise. Lorsque l’état se met à conclure des pactes, surtout d’excellence, on confine au paroxysme de la régression. Déjà que le mot pacte évoque le diable, deux parties qui pourraient ne pas être d’accord (et qui semblent ne pas l’être dans les faits), et puis d’« excellence », sorte de prétention qui pourrait laisser entendre qu’il existe, quelque part, une médiocrité à combattre, voire une bêtise à relever (lire à ce propos L’homme est bête et l’a toujours été, de Roger Avermaete), ce qui pointe vers une prise de conscience d’une déréliction lente – qui ne date pas d’hier.
Dans cet essai, l’autrice prend pour point de départ le constat de la disqualification et du rejet, voire de la haine des juges, du Droit et des droits de l’homme qui s’observe, depuis quelques années dans le débat public, partout en Occident, au prétexte de lutter contre le fameux « gouvernement des juges », non élus.