Tous ces témoignages nous permettent ainsi de remonter le temps et de nous laisser envoûter par le dépaysement et la nostalgie en découvrant une ville souvent insoupçonnée.
(ICONOGRAPHIE)
Tous ces témoignages nous permettent ainsi de remonter le temps et de nous laisser envoûter par le dépaysement et la nostalgie en découvrant une ville souvent insoupçonnée.
(ICONOGRAPHIE)
On ne peut s’empêcher de penser au Voyages avec ma Tante de Graham Greene.
C’est à l’univers des continuateurs, des relecteurs et des transmetteurs du grand texte de De Coster que la revue Textyles consacre le numéro qu’elle publie à l’occasion du cent-cinquantième anniversaire de la publication de l’Ulenspiegel.
Cet essai prend le pari de la révolution urbaine pour repenser la société post-nationale. Il propose un changement radical de gouvernance à partir de l’écosystème métropolitain, dans une Europe des villes en un monde cosmopolite.
Si le livre disparaît, l'homme n'aura plus qu'à se plier à la servitude.
Au-delà de la simple coexistence pacifique entre les individus, condition de possibilité sine qua non de toute vie en société, le droit semble s’immiscer dans le champ de notre liberté individuelle pour nous contraindre à faire ou nous empêcher de faire ce qui devrait dépendre de notre seule volonté.
On y évalue le prix à payer pour tenter d’infléchir le destin, que ce soit dans une luxueuse résidence de bord de mer en Espagne, le square Notre-Dame de l’Île de la Cité à Paris, ou sur la terrasse d’une villa huppée, dans le sud de la France.
Cette tragi-comédie surréaliste a été écrite pour commémorer le centenaire de la mort de Guillaume Apollinaire en 1918.
C’est l’un des mérites de ce récit, au-delà de ses qualités d’écriture, de narration, d’émotion : nous faire vivre ces questions (philosophiques) de plain-pied.
Delzenne nous offre aujourd'hui un chef d'œuvre de la littérature francophone.