À ce jour, le genre humain n’a pas trouvé une manière de vivre ensemble qui permettrait à tous – égalitairement – de se nourrir et de mener une vie modestement heureuse et exempte des soucis existentiels les plus élémentaires. La rapine de quelques-uns a servi de prétexte à une interprétation faussement darwiniste « de l’émergence des meilleurs, de la victoire des élites », alors que le vrai darwinisme vise simplement une survivance des plus adaptés. Or, avec le brigandage actuel de ses ressources naturelles, l’espèce humaine risque, à plus ou moins courte échéance, d’arriver à une inadaptation totale, d’autant plus qu’elle se menace elle-même de stocks nucléaires incontrôlables et fatidiques…
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À ce jour, le genre humain n’a pas trouvé une manière de vivre ensemble qui permettrait à tous – égalitairement – de se nourrir et de mener une vie modestement heureuse et exempte des soucis existentiels les plus élémentaires. La rapine de quelques-uns a servi de prétexte à une interprétation faussement darwiniste « de l’émergence des meilleurs, de la victoire des élites », alors que le vrai darwinisme vise simplement une survivance des plus adaptés. Or, avec le brigandage actuel de ses ressources naturelles, l’espèce humaine risque, à plus ou moins courte échéance, d’arriver à une inadaptation totale, d’autant plus qu’elle se menace elle-même de stocks nucléaires incontrôlables et fatidiques.
Au milieu du XIXe siècle, Karl Marx a sonné un tocsin dont les échos se perdent aujourd’hui. Il faut revenir sur nos pas et contempler, sans préjugés et rationnellement, les possibilités de transformer de fond en comble les prémisses et les conclusions de notre vie en commun.
C’est dans cette perspective que l’auteur entreprend de soumettre les institutions européennes à une critique qui se veut constructive. Au risque de devenir bientôt l’autopsie d’un cadavre, cette critique doit viser un changement complet de paradigme, une fondamentale re-construction de l’appareil. Il en vaut la peine, car les peuples d’Europe méritent de revenir à un siècle de lumière, à une vision de temps éclairés.
Jacques Steiwer a fait des études de philosophie et de lettres à la Sorbonne, où ses référents étaient des professeurs comme Paul Ricœur, Jean Wahl, ou Vladimir Jankélévitch. Après un doctorat d’État en philosophie au Luxembourg, il a enseigné à l’École européenne de Bruxelles I. Il a dirigé l’École européenne de Varese en Italie, puis celle de Bruxelles III. Jacques Steiwer est un philosophe engagé politiquement ; il a notamment collaboré avec le théoricien marxiste Ernest Mandel à l’Institut de Sociologie de l’ULB. Il a de nombreuses publications à son actif.
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
La Renaissance : On pourrait parler de « théâtre policier », à suspens, mais avec des caractères torturés qui se posent pas mal de questions sur notre société.
Providence : Andrea trace sa souffrance sur le fil d’une voie ferrée, comme un rail de traveling… Depuis que ses parents ont déserté la maison familiale et que sa sœur l’a abandonnée pour suivre un homme, Andrea, livrée à elle-même, vit en cachette dans sa propriété condamnée. Un matin, alors qu’elle s’amuse à jouer la funambule sur son rail (une poupée de chiffon à la main), elle rencontre Sam, un garçon qui ressent, parfois, des choses…