En quoi pourrait consister la réparation que les victimes sont en droit d’attendre ?
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Que la justice punisse, c’est la raison même de son existence et ce qui donne à la punition à la fois son sens et ses limites. Que la punition serve à compenser imaginairement la souffrance des victimes n’est qu’un leurre relevant de ce qu’on peut appeler la pensée magique. Pire : empêche d’envisager autrement la réparation de cette souffrance par un autre biais que la sanction pénale. La question centrale devient alors : en quoi pourrait consister la réparation que les victimes sont en droit d’attendre ?
Bruno Dayez est avocat au barreau de Bruxelles et chercheur associé à l’Université Saint-Louis. Il a notamment publié, chez le même éditeur: Pourquoi libérer Dutroux? Pour un humanisme pénal (2018), Les enfants du droit (2019), Lettre à une jeune pénaliste (2020), Lettre à mes Juges (2021), Lettre au procureur du Roi (2022).
En savoir plusRipple-marks (1976) est peut-être le plus grave des livres de Muno.
Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où « on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l’État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l’avenir ». Ambroise développe alors une terrible « chirurgie de l’âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?